Anastasiya018 me poussait toujours plus loin, plus fort, en essayant de lui arracher le sperme, n'importe quel sperme. Je pouvais à peine penser, je continuais à me détacher pour caresser son clitoris en le fixant, son visage étant un masque de sueur nerveuse. Je tremblais sous cette chaleur, et mon esprit revenait sans cesse à la fille avec laquelle j'étais dans la nuit, et à la façon dont il était dans le noir avec elle, mais je ne m'en souvenais plus. Ma chatte se mettait en colère alors que mon esprit tentait de fuir toutes les images impies qu'il essayait d'écarter. Je me suis assis et j'ai arraché mes yeux de sa bite qui coulait, toujours en train de pousser. Il respirait encore lourdement. Je me suis levé du canapé et j'ai commencé à enlever ma chemise, puis je me suis arrêté et je l'ai regardé en sortant la serviette de ma chambre. Il est resté immobile, me regardant fixement, et je pouvais voir sa bite, dure comme un roc et s'étirant sur son slip. Puis il a baissé ma chemise, et j'ai haleté en le regardant, sans voir une seule indication de son arrivée. Il y avait juste un drap de tissu, des draps de tissu, qui couvraient le lit. Nous ne nous étions même pas encore embrassés. Il n'a même pas bougé. Et c'est arrivé si vite, mais nous étions tous les deux comme ça, si enveloppés, incapables de penser à autre chose qu'à s'embrasser. Nous nous sommes juste réunis, nous nous sommes ouverts et nous nous sommes regardés dans les yeux .